Certains d'entre vous on peut être déjà eu l'occasion de le visionner, pour les autres, nous avons souhaité vous faire découvrir le reportage d'Arte passé hier, le 20 Janvier 2015 à 22H40, concernant les villes du futur.
Reportage en 3 parties, la dernière nous intéresse plus particulièrement, car en relation directe avec notre site. Son sujet : Les fermes verticales.
On y découvre tous les acteurs de ce microcosme (qui ne cesse de prendre de la place dans le paysage, notamment aux Pays-Bas et à Singapour), de la recherche d’économie d’énergie, à l'emploi de la High-Tech , en passant par l'utilisation industrielle des LED. L'hydroponie y est également présentée de manière simple et précise. Des interviews d'experts de domaines très différents permettent à tous d'y voir plus clair, et d'apercevoir un futur possible de nos villes.
On y apprend des chiffres intéressants comme le fait qu'il faut 400 litres d'eau en agriculture traditionnelle.pour 1 kilo de produit, alors que l'hydroponie n'en consomme qu'une dizaine. De même, il est à l'heure actuelle possible de produire des aliments sous lumière artificielle pour environ 12 euros le kilo. On ne peut pas encore concurrencer l'agriculture classique, mais la marge de progression est encore importante.
Une nouvelle diffusion aura lieu Mercredi 04 février à 10h45.
52 minutes à déguster sans modération, en Replay, sur Youtube, en VOD, et même en DVD.
Réalisateurs : Frédéric Castaignède, Jean-Christophe Ribot, Benoit Laborde
Producteurs : ARTE France, Docside, Rare Media
Nationalité : France
Image d'illustration issue du reportage
2 Responses to “Reportage Arte 20/01/2015 : Les villes du futur”
Rob
Quand on lit ce genre d’articles -> http://www.terraeco.net/Pourquoi-une-pomme-des-annees-1950,58246
, la culture « optimisée » ne fait pas spécialement envie =/
David Deymel
Bonsoir,
Comme toutes les « avancées » scientifiques, il y a possibilité d’en faire quelque chose de positif ou de négatif. Je te l’accorde, jusque là, l’agriculture intensive à fait les mauvais choix, pour suivre le marché.
Maintenant, si on peut éviter les pesticides et autres car l’environnement est contrôlé, si on peut économiser l’eau en la réduisant autant grâce a l’hydroponie, je dis pourquoi pas.
Mais il faut effectivement s’inquiéter de la qualité des génétiques utilisées. Il existe des gens qui s’occupent de sauvegarder ces variétés, on peut espérer que ça continue.